Soyez visible et restez en sécurité : Choisir les bons éclairages pour l’hiver

Les jours qui raccourcissent et les conditions de faible luminosité rendent les éclairages indispensables pour se déplacer en toute sécurité. Voyons les options qui s’offrent à vous. 

Rouler en hiver signifie souvent rouler par mauvais temps ou dans l’obscurité. Les jours se raccourcissent en hiver, et peuvent vous prendre par surprise si votre petit tour à vélo prend plus de temps que prévu. 

Dans la plupart des pays, la loi exige que vous rouliez avec des éclairages sur votre vélo entre le coucher et le lever du soleil. Consultez le site Web de votre gouvernement pour connaître les règles de votre pays.

Certains éclairages de vélo sont étanches, ce qui est important si vous faites du vélo même quand il pleut. Si votre éclairage n’est pas résistant à l’eau, pensez à installer des garde-boue pour réduire les projections.

Certains éclairages de vélo disposent également de fonctionnalités intelligentes intégrées telles que la détection de la circulation. Lorsqu’une voiture s’approche de l’arrière, le feu arrière brille plus fort pour s’assurer d’être vu. Cela peut sembler superflu, mais si vous êtes adepte de cyclisme sur route, ce genre de caractéristique peut s’avérer utile.

Chez Canyon, nous donnons la priorité à votre sécurité lorsque vous roulez en hiver.

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Il existe deux bonnes raisons d’utiliser des éclairages de vélo, en particulier en hiver : pour voir et être vu. Une lampe de vélo « pour voir » doit être lumineuse (voir la section sur les lumens ci-dessous) et avoir un faisceau focalisé pour éclairer la route ou le sentier devant vous. Une lampe de vélo « pour être vu » par les autres usagers de la route doit proposer différents modes et réglages de luminosité. 

La plupart des éclairages de vélo avant sont montés sur le cintre avec un support en plastique ou en métal. Le support est ensuite fixé avec des élastiques robustes ou des boulons. 

En France, les éclairages de vélo avant doivent émettre une lumière jaune ou blanche non éblouissante pour éviter de gêner les véhicules conduisant en sens inverse. Il est important de veiller à ce que les éclairages de vélo de route respectent ces normes.

Contrairement aux feux avant, les feux de vélo arrière n’ont qu’un seul objectif : être vu par les autres usagers de la route. Les feux arrière sont généralement montés sur la tige de selle, mais certains choisissent d’ajouter des feux supplémentaires sur les haubans. 

Les feux arrière projettent une lumière fixe ou clignotante rouge, tout comme les feux arrière des autres véhicules. Ces éclairages offrent généralement différents modes, et certains ont même une luminosité variable. 

L’autonomie de votre batterie est un élément crucial. Une lampe qui se décharge entièrement avant d’atteindre votre destination est inutile. 

Plus l’autonomie de la batterie est longue, plus l’éclairage est gros et lourd. Certains éclairages utilisent des batteries externes qui peuvent être montées sur le tube supérieur, tandis que d’autres ont des batteries internes. 

La grande majorité des éclairages de vélo sont rechargeables. Il suffit de retirer la lampe du vélo et de la charger via USB. Il s’agit d’une fonctionnalité particulièrement utile si vous allez au travail à vélo : recharger votre éclairage en la branchant sur votre ordinateur portable pendant que vous travaillez, et elle sera parée pour le trajet du retour. 

Les lumens sont l’unité mesurant la quantité de lumière émise par une source. Plus le nombre est élevé, plus la lumière est vive.

Si vous roulez en ville où les lampadaires vous guident, vous n’aurez pas besoin d’autant de lumens que quelqu’un qui emprunte une petite route non éclairée.

En général, 200 lumens suffisent pour rouler en ville, lors de vos trajets quotidiens. Si votre itinéraire vous emmène sur des routes non éclairées, optez plutôt pour 400 lumens ou plus. Les vététistes auront besoin d’environ 1 500 lumens pour faire du VTT tout-terrain dans les bois.

Au moment de choisir vos lumens, pensez également à l’autonomie de la batterie. Si votre lampe ne peut projeter que 200 lumens pendant une demi-heure et que votre trajet dure 45 minutes, elle ne vous sera pas très utile.

En plus des éclairages montés sur le vélo, l’un des meilleurs endroits pour positionner une lampe est sur votre casque. Positionnée en hauteur et bien visible pour les autres usagers de la route, le feu arrière du casque orienté vers l’arrière vous permettra d’être vu par n’importe quel véhicule s’approchant.  

Lorsqu’il est orienté vers l’avant, l’éclairage de casque peut également augmenter votre vision lorsque vous roulez en hiver, en éclairant votre chemin.  

Lorsqu’un objet est réfléchissant, il renvoie la lumière vers la source, ce qui le rend visible en cas de faible luminosité.  

Des éléments réfléchissants sur vos vêtements et votre équipement peuvent améliorer la visibilité par faible luminosité. Il peut s’agir d’une veste avec une bordure réfléchissante ou d’un ensemble d’autocollants réfléchissants sur votre tige de selle ou vos haubans.  

Si vous roulez en hiver, optez pour un éclairage de vélo rechargeable qui peut être réutilisé à maintes reprises. Certaines marques comme Knog proposent des éclairages élégants avec des feux puissants et une bonne autonomie de la batterie. Si vous avez besoin d’un éclairage pour faire face à des conditions de route plus exigeantes, optez pour la marque Lupine, spécialisée dans les éclairages de vélo haut de gamme avec des systèmes de montage soignés développés en partenariat avec Canyon.

Une fois vos nouveaux éclairages de vélo installés, vous pouvez monter en selle, quelle que soit l’heure de la journée.